C’était il y a 7 ans : le 11 mars 2011, la catastrophe nucléaire de Fukushima devenait, rejoignant celle de Tchernobyl, l’une des 2 catastrophes nucléaires civiles les plus graves de l’histoire mondiale.
Ce triste anniversaire est l’occasion d’écouter une nouvelle fois le témoignage que Naoto Kan nous avait accordé lors de sa venue en France, le 24 février 2015 : https://vimeo.com/122089945
Vous retrouverez la synthèse de la conférence et du débat qui s’ensuivit sur https://gcft.fr/WP/conference-fukushima-du-24-fevrier-premiers-elements-de-synthese/
A cette occasion, la recommandation de Naoto Kan était la suivante : La France doit s’engager sur une sortie progressive du nucléaire avec de premières étapes avant ParisClimat2015, et aussi à se préparer de la manière la plus démocratique et transparente, à l’éventualité d’une catastrophe nucléaire. Il a rappelé que « le risque zéro n’existe pas, que la question des coûts n’a que peu de sens devant les traumatismes subis et que l’impact d’une catastrophe nucléaire comme celle de Fukushima, pire que de perdre une grande guerre ».