Un constat donc beaucoup moins réjouissant que ce qu’avancent quelques supporteurs à l’heure actuel.
Les risques d’exploitation des gaz de schiste sont, par contre, eux, importants et avérés. C’est d’ailleurs pour cela que le Conseil Constitutionnel interdit la fracturation hydraulique sur le sol français. De par la fracturation de la roche-mère, des polluants tels que le mercure, le plomb ou encore du cadmium sont libérés. Ceux-ci sont cancérigènes, reprotoxiques et mutagènes. Le milieu de fracturation agit comme un catalyseur qui génère de nouvelles molécules toxiques. Ces substances pouvant contaminer eaux de surface et nappe phréatique.
Des risques représentant un enjeu direct pour la santé humaine et l’ensemble du biotope avec une pollution des eaux et des sols mais aussi des risques sismiques et des conflits d’usage.
Gaz de schiste : https://gcft.fr/WP/gds/
Synthèse du rapport Green Cross sur le gaz de schiste : https://gcft.fr/wp-content/uploads/2013/07/20130222_Synthese_etude_gcft_gaz_schistefinal.pdf
La version électronique du rapport complet Green Cross sur le gaz de schiste est distribuée gratuitement par email à tous les adhérents Green Cross à jour de cotisation – écrire à contact@gcft.fr